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WAGRAM DV
Pour le 10ème anniversaire de sa sortie, cet album a été entièrement remasterisé et comporte en bonus le morceau inédit 'Seasons of Purgatory', composé et enregistré lors des sessions d'origine. Le DVD contient un documentaire 'Making of' de plus de 2h00, avec des interviews, des scènes filmées pendant les enregistrements. On y trouve également le concert complet donné lors du Thrash Domination en 2009 au Japon. Le vinyle a été passé de LP simple à un LP double afin d'optimiser le son. Heathen va sortir un nouveau disque studio en 2020, avec une tournée. Les thrashers de la Bay Area de Heathen sont toujours vivants et ils le prouvent avec la sortie de leur nouvel album, The Evolution Of Chaos. Formé en 1984 HEATHEN est un groupe de Metal natif de la baie de San Francisco (Californie). Le groupe se démarque des autres combos par ses riffs précis et ravageurs et ses mélodies harmoniques. HEATHEN est inspiré par les groupes de Rock des séventies comme Rainbow et Nwobhm et par les premières vagues de thrash métal (Metallica, Exodus). Il aura fallu attendre prés de 6 ans pour que HEATHEN donne suite à son précèdent album Recovered paru en 2004 et qui contient des reprises de titres de Queen, Thin Lizzy, Tygers Of Pan Tang et Sweet Savage. The Evolution Of Chaos enregistré en Californie contient 10 Titres originaux de Thrash Metal. Le groupe de San Francisco est actuellement composé de Lee Altus (guitariste chez Exodus), Kragen Lum (guitariste chez Prototype), Dave White (chant), John Torres (bassiste chez Angel Witch) et Darren Minter à la batterie.
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22,99 €
WAGRAM DV
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
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15,99 €
WAGRAM DV
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
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25,49 €
PIAS
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
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12,99 €
AUTRE DISTRIBUTION
AU CARREFOUR DU BLUES, DU ROCK ET DE LA FOLK Ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l'avenir. Les « ventres de coton » c'est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s'échappe parfois. Leurs chansons sont des plaintes empreintes d'espoir ou un harmonica virevolte avec une guitare électrique déchirante, libérant une voix soul soutenue par un basse/batterie au groove solide. Si l'humour, l'espièglerie ou encore la simplicité sont du voyage, les « Cotton Belly's » n'ignorent pas les crises qui secouent le monde. Les textes évoquent notre humanité et les mélodies nous accompagnent longtemps après que les dernières notes aient résonné. Alors, route pluvieuse ou pas, c'est à chaque fois avec le même groove généreux que les « ventres de coton » offrent sans relâche des gigs enlevés dont on ressort l'âme un peu plus légère. Après leur tournée aux Etats-Unis et leur demi finale à l'International blues challenge de Memphis, les Cotton Belly's nous dévoilent leur nouvel album, de nouvelles versions de leurs chansons rafraîchies et affirmées par des années de concerts, on y trouvera également une version revisitée sauce « Cotton » de « Superstition » du grand Stevie Wonder, ainsi qu'une toute nouvelle composition originale « Broken Line » enregistrée à Memphis ! Le tout sublimé par le venue d'invités surprise. « UNE VIVACITÉ ÉMÉRITE ET UNE VOIX APTE À POUSSER LA COMPLAINTE » Rock & Folk « COTTON BELLY ’ S NE CESSE DE CONFIRMER SON TALENT. UN RYTHME MAÎTRISÉ, UN VOCAL MÛR ET UN HARMONICA VIRVOLTANT. » Soul Bag
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15,99 €
PIAS
Le cinquième album incisif des noise rockeurs de Philadelphie « Des franT-tireurs punk, Tapables en trois minutes à peine de désordonner le roTk aveT une explosivité qu'ils maîtrisent à la perfeTtion » LES INROCKS Originaire de Philadelphie, le groupe Pissed Jeans nous offre un son génial depuis 13 ans. Et pour leur cinquième album Why Love Now, les quatre américains font de ce son une arme pour prendre en joue tous les éléments sans intérêt de la vie moderne. Le point de rencontre entre sludge, punk, noise et l'esprit aiguisé du groupe - Matt Kurvette (voix), Brad Fry (guitare), Randy Huth (basse) et Sean McGuiness (batterie) - crée ce singulier espace de défoulement contre l'absurdité du monde, propre aux Pissed Jeans. Comme ils l'avaient fait pour leur dernier album Honeys en 2013, les Pissed Jeans proposent dans Why Love Now une série de chansons type fuTk that shit sur le monde du travail, avec le sévère ‘Worldwide Marine Asset FinanTial Analyst' qui remplace des noms de métiers à rallonge par des refrains punk grinçants, ou ‘Have You Ever Been Furniture' qui lève le poing pour tous ceux dont les descriptions de job peuvent se résumer par l'expression « emploi dévalorisant ». Pour produire Why Love Now, l'icône du No Wave Lydia Lunch s'est installée à Philadelphie aux côtés de la légende du métal Arthur Rizk (Eternal Champiun, Guat Semen). La combinaison des conseils spirituels de Lunch et des prouesses techniques de Rizk a réussi, et Why Love Now est une rencontre avec des Pissed Jeans au top de leur forme. Puur ceux qui aiment : The Jesus Lizard, Mudhuney, Tad, Black Flag, Metz, Shellac...
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38,99 €
PIAS
SEULE UNE POIGNÉE DE DJS ET DE PRODUCTEURS SONT CAPABLES DE TRANSCENDER LES STYLES ET LES GENRES, S'ÉLEVANT AU DESSUS DE FUGACES TENDANCES POUR CRÉER LEURS PROPRES PAYSAGES SONORES. LAURENT GARNIER FIGURE SANS PEINE PARMI EUX, MIXANT TECHNO, HOUSE, DRUM'N'BASS ET FUNK-JAZZY AVEC UNE FACILITÉ DÉCONCERTANTE SON DERNIER OPUS, « TALES OF A KLEPTOMANIAC » POUSSE ENCORE PLUS LOIN LES FRONTIÈRES MUSICALES, FAISANT PREUVE D'UNE DIVERSITÉ DIABOLIQUE QUI FAIT DE LUI L'UN DES MEILLEURES REPRÉSENTANTS DE LA MUSIQUE DANCE-ÉLECTRO. LES LÉGIONS DE FANS TECHNO DE MONSIEUR GARNIER NE SERONT PAS DÉÇUS PAR CET ALBUM PUISQUE L'ART DE DETROIT BÉNÉFICIE D'UN GRAND NETTOYAGE !!! BEAUCOUP ADORENT DEPUIS LE DÉBUT ENTENDRE LAURENT DANS SON RÔLE DE DJ ET QUAND IL SE BALANCE AU-DESSUS DES PLATINES, LA TECHNO BRILLE - VOUS SAVEZ, LE VERITABLE ESPRIT DE LA TECHNO - LE VRAI TRUC - ALORS, ENTRE «DESIRELESS», «BACK TO MY ROOTS» ET «LAST DANCE @ YELLOW», LES PURISTES SONT À LA FÊTE ! ENTRE HYMNE FUNK DES TEMPS MODERNES («NO MUSIC»), HIP HOP POUR BEAT BOX INDUSTRIEL («FREEVERSE») DRUM AND BASS («BOURRE PIF»), BEAT LENT ET HALETANT («DEALING WITH THE MAN»), L'ALBUM SE CONCLUT PAR UN PEU DE NEW WORLD AVEC «FROM DEEP WITHIN» ET DE ROOTS SUR «FOOD FOR THOUGHT», AVEC LA PARTICIPATION DU LÉGENDAIRE WINSTON MAC ANUFF... EN FAIT, LES RÉFÉRENCES DE LAURENT EN TANT QUE DJ SONT INNOMBRABLES : «PAY TV» PARLE DE LUI-MÊME ET UN MILLION DE DJ ITINÉRANTS ADORENT SA BATTERIE, UNE ESPÈCE DE GROOVE RARE, STYLE PORNO FRANÇAIS, SI VOUS VOYEZ CE QUE JE VEUX DIRE...PEUT-ÊTRE PAS !!! QUOI QU'IL EN SOIT, C'EST ÉNORME ! BREF, TALES OF A KLEPTOMANIAC EST UN CLASSIQUE, PEUT-ÊTRE LA MEILLEURE RÉALISATION DE LAURENT GARNIER
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18,99 €
PIAS
Le jazz est un art paradoxal : expression essentiellement individuelle, il est aussi langage, musique du dialogue. S'il est si difficile à cerner, si l'on s'entend si rarement sur sa définition, c'est peut-être que le jazz est un processus, le lieu d'une tension dialectique qui se résout à un instant donné, sur scène, en une création commune. L'écueil à éviter, et le motif de tant de disputes, c'est de vouloir dire a priori ce qui est jazz. La grande histoire du jazz est faite de dissidences, de convergences accidentelles, elle ne se résume pas d'un trait net. Archie Shepp ne veut pas du mot « Jazz » pour sa musique; ce qui l'habite, c'est la musique noire américaine au son de laquelle il a grandi. Ce qu'il joue, le projet d'une vie, c'est la « Black Art Music ». C'est pour lui, et au-delà pour de nombreux musiciens noirs (Duke, Roach, Mingus... Oliver Lake) la réponse à la confiscation de leur histoire par une industrie sans identité. Ce qui n'exclut pas la rencontre, l'extrême proximité, inattendue et inexplicable, entre un pianiste autrichien élevé dans une culture musicale classique - Siegfried Kessler - et un enfant du ghetto de Fort Lauderdale, Floride - Archie Shepp. Le jazz, puisqu'il faut un mot, est universel parce qu'il est ancré dans le particulier, parce qu'il est ouvert sur toutes les expressions singulières. Call and Response. Quelques notes suffisent pour entendre la proximité entre Shepp et Lake. Leur timbre, absolument personnels, déchirés et déchirants, sont des incarnations de la Voix Noire. L'un et l'autre conçoivent leur musique en lien direct avec la culture de leur peuple, et toutes les formes artistiques qui en ont émergé. Oliver Lake fut l'un des fondateurs du BAG - Black Artists Group - un collectif multidisciplinaire d'artiste afro-américains, et Archie Shepp l'un des principaux animateurs de l'aventure qui l'inspira : Le Black Arts Repertory Theater/School d'Amiri Baraka. La rencontre avec Maddox prolonge un dialogue entre musique et poésie orale dans lequel les deux saxophonistes se sont depuis longtemps engagés. Malcolm Semper Malcolm (Fire Music 1968), ou encore les versions scandées de Revolution annoncent le rap et prolongent une tradition qui part d'Afrique, traverse spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afroaméricaine, son urgence et sa nécessité. Napoleon Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Maddox restitue la richesse d'un grand mouvement artistique populaire, le hip-hop. Human Beat Box, ou l'art d'imiter une batterie avec sa voix, free style - raps improvisés - dont les textes sont biographiques, intimes et politiques, ces instruments et formes authentiques du rap font écho à une histoire plus large : le rappeur est le bluesman moderne. Il y a là un fil que l'on peut suivre à travers toute la musique noire américaine : Malcolm Semper Malcolm - Archie Shepp Fire Music 1968 - ou encore les versions scandées de Revolution, annonçaient le rap et retravaillait une forme qui naquît en Afrique, traversa spirituals, blues, la poésie de Baraka, les dirty dozens, la prosodie de Luther King, The Revolution Won't be Televised, les raps de Public Enemy... Le parlé scandé noir américain ressaisit la parole quotidienne dans une poésie rythmique; il est politique parce qu'il est au plus proche de la langue d'une communauté opprimée. S'y exprime l'élan fondamental de la musique afro-américaine, son urgence et sa nécessité.
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32,99 €
MODULOR
J'ai rêvé de Lemmy dit Matt Pike pour expliquer le titre Electric Messiah du huitième album de High On Fire. Formé en 1998 à Oakland en Californie, le trio heavy metal partage avec Motörhead un secret de longévité. Le groupe a été créé sous l'impulsion de Matt Pike, guitariste de Sleep, avec Des Kensel à la batterie et depuis 2006 Jeff Matz (Zeke) qui a repris la basse. Au cours de ces 20 années High On Fire s'est forgé une identité distincte avec des riffs imposants, une section rythmique à la force propulsive, des solos tranchants et des paroles poétiques qui leur valent des louanges bien au-delà de la scène metal. Du vivant de Lemmy Kilmister, le chanteur et guitariste Matt Pike était en permanence comparé à lui. Dans son rêve, Lemmy se venge et l'humilie ! Le morceau Electric Messiah, qui donnera son titre à l'album, lui rend hommage car au final personne ne pourra le remplacer. Pour la troisième fois consécutive, le groupe a recours aux services du producteur Kurt Ballou (Converge, Torche, Kvelertak) avec lequel l'alchimie est palpable. L'album est plus rapide que jamais mais c'est définitivement la dynamique qui cloue l'auditeur. On y trouve le rauque Spewn from the Earth en ouverture, le bluesy Drowning Dog en fermeture, le trashy Freebooter inspiré par le corsaire Sir Francis Drake mais c'est Steps of the Ziggurat/House of Enlil avec ses 9 minutes et ses allures de rock opera qui se démarque sans doute le plus. Alors que beaucoup s'essoufflent avec l'âge, High On Fire semble plus fort, ce groupe qui n'a de cesse d'évoluer a atteint un nouveau sommet. Version double vinyle 180 GR vert translucide marbré noir. Edition limitée à 1000 exs.
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16,99 €
MODULOR
J'ai rêvé de Lemmy dit Matt Pike pour expliquer le titre Electric Messiah du huitième album de High On Fire. Formé en 1998 à Oakland en Californie, le trio heavy metal partage avec Motörhead un secret de longévité. Le groupe a été créé sous l'impulsion de Matt Pike, guitariste de Sleep, avec Des Kensel à la batterie et depuis 2006 Jeff Matz (Zeke) qui a repris la basse. Au cours de ces 20 années High On Fire s'est forgé une identité distincte avec des riffs imposants, une section rythmique à la force propulsive, des solos tranchants et des paroles poétiques qui leur valent des louanges bien au-delà de la scène metal. Du vivant de Lemmy Kilmister, le chanteur et guitariste Matt Pike était en permanence comparé à lui. Dans son rêve, Lemmy se venge et l'humilie ! Le morceau Electric Messiah, qui donnera son titre à l'album, lui rend hommage car au final personne ne pourra le remplacer. Pour la troisième fois consécutive, le groupe a recours aux services du producteur Kurt Ballou (Converge, Torche, Kvelertak) avec lequel l'alchimie est palpable. L'album est plus rapide que jamais mais c'est définitivement la dynamique qui cloue l'auditeur. On y trouve le rauque Spewn from the Earth en ouverture, le bluesy Drowning Dog en fermeture, le trashy Freebooter inspiré par le corsaire Sir Francis Drake mais c'est Steps of the Ziggurat/House of Enlil avec ses 9 minutes et ses allures de rock opera qui se démarque sans doute le plus. Alors que beaucoup s'essoufflent avec l'âge, High On Fire semble plus fort, ce groupe qui n'a de cesse d'évoluer a atteint un nouveau sommet. Version double vinyle 180 GR vert translucide marbré noir. Edition limitée à 1000 exs.
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28,99 €
DIFFER-ANT
Découvrez l'univers atmosphérique et envoutant de la songwriter et multi-instrumentiste la plus captivante du moment «L'artiste fusionne brillamment l'esthétique des bandes originales des années 60 et 70's, combine lyrisme et folk, soul et jazz psychédéliques, le tout sublimé par sa voix de sirène cosmique.» FIP The Visitor, le premier album de Kadhja Bonet, provoque, dès les premières secondes, une sensation d'émerveillement, justifiée par la composition riche et délicate de l'oeuvre et sublimée par la voix de Kadhja - prononcer ‘kadya'. L'artiste californienne nous invite au voyage dans un monde atemporel, entre classique, jazz, soul et folk, sans se définir précisément, mais en conservant une dimension magique, capable d'unir magnifiquement tous ces genres au fil des 8 titres qui constituent l'album. Issue d'une d'une formation en musique classique, Kadhja a d'abord appris le violon et l'alto, s'est initiée à la flûte et la guitare, et y a développé ce singulier talent de composition qui structure chacune des notes de l'album. Bien qu'elle s'entoure d'amis comme Te'amir Sweeney à la batterie (Aloe Blacc), Low Leaf, Peter Dyer (Aloe Blacc, St Vincent), Randal Fisher et Itai Shapira à la harpe, aux synthés, à la flûte et à la basse, Kadhja Bonet joue tout de même une majeure partie des instruments elle-même : guitare, violon, flûte et des choeurs qui garnissent ses paysages musicaux. Et comme si cela ne suffisait pas à assurer l'indépendance de sa vision, Kadhja a aussi produit The Visitor, en déléguant tout de même la plupart du travail de mix et d'enregistrement à son assistant producteur multi-instrumentiste Itai Shapira (Herbie Hancock, Sly Stone, Rhye). Pour ceux qui aiment : Nina Simone, Astrud Gilberto, Lianne La Havas, Ala.ni, Julia Holter...
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6,99 €
PIAS
CALYPSO a baigné très tôt dans la musique, l’art et le son, puisque qu’elle est la fille des artistes Jacno & Elli Medeiros. On a déjà pu l'apercevoir à l'écran dans les films d'Olivier Assayas, Michel Gondry, Catherine Corsini,... et l'entendre au sein du groupe electro Cinema, en duo avec Etienne Daho sur une reprise du titre Amoureux Solitaires & en duo avec Lescop lors de la soirée Tombés Pour La France à Pleyel. Pour son projet solo, CALYPSO s'est entourée du producteur Yan Wagner et de musiciens aussi divers que brillants : François Poggio (ETIENNE DAHO... ) à la guitare, Marcello Giulliani (ERIC TRUFFAZ QUARTET) à la basse, Emile Sornin (FOREVER PAVOT) à la batterie, Thomas de Pourquery (VKNG) au saxophone, Haroun Samali au violon,... Ce 2ème EP, empreint de voix cristallines et de textes affutés, nous confirme que le meilleur reste à venir avec son premier album. « Nouvelle flamme de la pop française » - LES INROCKUPTIBLES « Beauté troublante synthétique et baroque » - GRAZIA Au début de l’Hiver, CALYPSO VALOIS présentait le premier titre de son projet solo, le bien nommé Le Jour, qui mettait en lumière sa singularité artistique : pop de haute volée, langage direct, coup de foudre immédiat. Elle revient aujourd’hui présenter de nouveaux éléments fondateurs de son univers avec la sortie d’un autre 45 tours, Vis à Vie. Face A, le single Vis à Vie, immédiat et clinquant, qui navigue aux confluences du disco, guitares brillantes et violons de gala, et d’une pop mélancolique. Face B, le délicat et langoureux La Faute, ballade feutrée, bossa désarticulée, qui invite l’auditeur dans le speakeasy des pensées sombres de CALYPSO. Une deuxième plongée en eaux troubles, qui annonce un album ambitieux à paraître en Septembre chez LE LABEL - PIAS.
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11,99 €
SONY MUSIC DV
Trésors d'Hollywood Nombre de disques : 4 Disque 1 : 1. Les Conquérants - 2. Les Aventures De Robin Des Bois - 3. Capitaine De Castille - 4. La Maison De L'Ombre - 5. Autant En Emporte Le Vent : Séquence D'Ouverture - 6. Autant En Emporte Le Vent : Grazioso Mammy - 7. Autant En Emporte Le Vent : Guerre Civile, Chute Des Sudistes - 8. Autant En Emporte Le Vent : L'Amour Véritable - 9. Autant En Emporte Le Vent : Apothéose, Mort De Mélanie - 10. Assurance Sur La Mort - 11. Tempête Sous La Mer : La Mer, Le Lagon - 12. Tempête Sous La Mer : Immersion - 13. Tempête Sous La Mer : La Pieuvre - 14. La Fiancée De Frankenstein : Création Du Monstre Féminin Disque 2 : 1. Indiscrétions - 2. Citizen Kane : Pr2lude - 3. Citizen Kane : Thème Et Variations - 4. Citizen Kane : Aria - 5. Citizen Kane : Rosebud & Final - 6. L'Aigle Des Mers - 7. Les Hauts De Hurlevent - 8. King Kong - 9. Prince Vaillant - 10. Ivanhoë - 11. Les Ensorcelés : L'Amour Est Pour Les Très Jeunes - 12. Les Ensorcelés : La Leçon De Comédie - 13. Les Ensorcelés : Brève Mise En Bouche - 14. Les Ensorcelés : Nocturne Et Thème - 15. La Chose D'Un Autre Monde Disque 3 : 1. Comment Epouser Un Millionnaire - 2. Casablanca - 3. Le Poison : La Bouteille, Première Rencontre - 4. Le Poison : La Souris & La Chauve-Souris, Cauchemar - 5. Le Poison : Scène D'Amour Et Final - 6. Laura - 7. La Sorcière Blanche : Batterie Parlante - 8. La Sorcière Blanche : Tarentule, Le Lion - 9. La Sorcière Blanche : Nocturne - 10. La Sorcière Blanche : Enlèvement Du Garçon Bakuba - 11. La Sorcière Blanche : Lonni Attaché De Cordes - 12. Une Place Au Soleil - 13. La Tunique - 14. Jalousie : Concerto Pour Violoncelle - 15. Le Grand Sommeil : Thème D'Amour Disque 4 : 1. Fanfare De La Universal Pictures - 2. Boulevard Du Crépuscule - 3. Hangover Square : Concerto Macabre Pour Piano & Orchestre - 4. La Captive Aux Yeux Clairs - 5. La Maison Du Docteur Edwards - 6. La Main Gauche Du Seigneur - 7. Le Soleil Se Lève Aussi - 8. Anastasia - 9. Le Voleur De Bagdad : L'Amour De La Princesse - 10. Le Trésor De La Sierra Madre
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379,00 €
Yamaha
THR-10II Ampli combo Yamaha Modélisations fidèles d’amplis à lampes et d’effets incontournables. 15 modèles d’amplis guitare, 3 modèles d’amplis basse, 3 modèles de micros pour guitare électro-acoustique et mode « flat » pour brancher tous vos autres instruments. Connectivité Bluetooth pour diffuser, edition via l’application THR Remote. Audio Hi-Fi grâce à la technologie Extended Stereo. Interface audio USB Plug-and-play pour l’enregistrement et la lecture des playbacks audio. Edition et Librairie accessible depuis l’Application THR Remote. Interface Audio-numérique USB. Quantification 24 bits. Fréquence d’échantillonnage 48khz. Haut Parleur 3.1’’ (8cm) x2. Réponse en fréquences 80Hz-20KHz. Amplification 20W (10W + 10W). Bluetooth Audio/MIDI. Accordeur Chromatique. Consommation 18W. Application/Software «THR Remote» Win/Mac/iOS/Android. Accessories AC Adapter (15V 3A), Quick Guide, Cubase AI. Référence fournisseur GTHR10II Les nouveaux amplis Yamaha THR II offrent les sensations et les sonorités des combos à lampes et les effets indispensables dans un format compact pour rendre l’ampli portable de référence encore meilleur. Yamaha est à l’origine des amplificateurs nomades THR qui ont révolutionné la pratique de la guitare en dehors de la scène ou du studio. La nouvelle série THR II franchit une nouvelle étape : nouveaux modèles d’amplis guitare, de nouveaux modèles d’amplis basse, nouveaux modèles de micros pour guitare électro-acoustique et un mode « flat » pour connecter tous vos autres instruments. Les trois nouveaux amplificateurs THR proposent une connectivité Bluetooth® pour la lecture et l’édition audio via l’application THR Remote. Les amplificateurs THR30II Wireless et THR10II Wireless comprennent également un récepteur sans fil intégré qui se combine parfaitement avec un émetteur optionnel Line 6 Relay G10T, ainsi qu’un fonctionnement sur batterie rechargeable intégrée vous permettant de jouer où vous voulez.
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8,99 €
WAGRAM DV
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
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21,99 €
WAGRAM DV
Après le triomphal High Violet (2010) et plus d’ 1 million d’albums vendus dans le monde, The National signe son grand retour avec Trouble Will Find Me, sixième album en forme de chef d’oeuvre ! Les américains de The National se sont imposés au fil de cinq albums et quatorze ans de carrière comme l’un des groupes les plus incontournables de la scène indépendante internationale. Le groupe basé à Brooklyn est composé du chanteur Matt Berninger, des jumeaux Bryce et Aaron Dessner (guitares, claviers) et des frères Scott et Bryan Devendorff (basse, batterie). Après les albums The National (2001) et Songs For Dirty Lovers (2003) sortis sur leur propre label, le groupe signe chez Beggars Banquet pour la sortie de Alligator en 2005 puis du superbe Boxer en 2007 qui remporte un énorme succès à travers le globe. En 2008, le candidat présidentiel Obama les choisit pour illustrer ses films de campagne et le groupe se produit à des meetings du parti démocrate. En 2010, High Violet, propulse le groupe encore d’avantage sur le devant de la scène, l’album rentre 2ème au Billboard US et s’écoule à plus de 700.000 exemplaires à travers le monde. Il marque également une réelle progression dans le son du groupe, les arrangements et la production faisant preuve d’une sophistication et d’une assurance incroyables. Sur ce sixième opus, le timbre baryton inimitable de Matt, les riffs inventifs des Dessner et la section rythmique efficace des Devendorff forment toujours la colonne vertébrale du groupe. On y retrouve aussi sa classe incomparable et les treize titres qui le composent sont tous d’une beauté fragile saisissante. Trouble Will Find Me s’inscrit dans la continuité de High Violet mais il est encore plus riche et abouti. The National y atteint le sommet de son art et s’impose plus que jamais comme l’un des meilleurs groupes américains contemporains.
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KIDICOM MAX bleu - 3 - 8 ans Nouvelles fonctions : Nouveau design ultra fin avec grand écran 5 - Processeur Android ultra rapide et navigateur Internet sécurisé pour surfer sur certains sites autorisés par les parents - Accès boutique d'applications Android 16 applications/jeux intégrés dont un super jeu SamSam (+2 à télécharger gratuitement), dont : Envoi de messages (écrits, vocaux, dessins, émoticônes) à ses proches via l'application KidiConnect - 3 jeux inclus - Appareil photo rotatif avec 50 trucages pour prendre ses amis en photo et faire des selfies - Caméra vidéo - Album photo - Bibliothèque vidéos pour regarder ses vidéos, films ou dessins animés préférés - Lecteur de musique pour emporter sa musique partout - Horloge permettant d'activer des alarmes ou servant de réveil - Téléchargements : avec plus de 1000 contenus disponibles à télécharger - Gestionnaire de sonneries, bloc notes, calendrier et calculatrice Connexion Wi-Fi pour communiquer avec ses proches via l'application sécurisée KidiConnect* et accéder à l'Explor@ Park VTech pour découvrir plus de 2000 musiques, applications, histoires, vidéos et dessins animés mettant en scène les héros préférés des enfants. Mémoire interne de 8 Go et port microSD pour ajouter plus de contenus (mémoire extensible jusqu'à 40 Go). Prise casque et port micro USB. Réglage du contraste. Super robuste grâce à son contour anti-choc et sécurisé ! Avec capteur de mouvement. Batterie intégrée et adaptateur de recharge. Boîte fenêtre avec rabat. *L'application KidiConnect pour smartphones Android et Apple est disponible en France (France métropolitaine et Corse), Suisse, Belgique, Luxembourg, Espagne, Italie, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Irlande, Royaume-Uni, états-Unis et Canada. Le plus smart des portables pour les Kids. Nouvelle génération ! - 1 Kidicom max bleu - 1 adaptateur de recharhe - 1 dragonne - 2 stylets
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9,99 €
SONY MUSIC
Médecin le jour et musicien la nuit, LeonxLeon produit depuis 2013 dans son home studio parisien des morceaux où se rencontrent House, Italo-Disco et Boogie. Jeune, il a baigné dans la musique en suivant des cours de batterie jazz au conservatoire, et surtout en voyant travailler son père ingénieur du son, qui construisait ses propres synthétiseurs dès les années 1970. Comme un hommage, il s'est servi d'un de ces synthétiseurs uniques sur un titre du disque. Après un remixe remarqué du morceau Funk Makossa de Cerrone et plusieurs morceaux sur des compilations Red Laser Disco, il sort en 2017 son projet My Solar Brass sur ce même label anglais. Organisateur de nombreuses soirées parisiennes, il a également participé à la fondation du label d'édits Good Plus et de Les Yeux Orange. Avec la sortie de Rokanbo sur Cracki Records, LeonxLeon signe un EP mature au confluent de différents styles. Le premier titre éponyme est un manifeste mélangeant Acid, House et Zouk. Dès qu'on lance la piste, les sonorités Pop et Acid nous prennent à la hanche et au cou. Un Ovni venu des îles! Les autres morceaux de l'EP ne nous laissent pas en reste! Formant Sweep diffuse une basse douce et groovy répondant à une envolée synthétique spatiale et sans fin. Sur Red Footpath, le kick plus dur se mêle intelligemment à une nappe atmosphérique et un lumineux solo de flûte entrainante tout droit venu d'un bout de bambou abandonné sur une plage déserte. Après cela, Jungle Juice laisse résonner un solo de clavier dantesque au milieu de la faune et de la flore tropicale, et enfin sur Horizon, l'EP se conclut en beauté sur une atmosphère aérienne et aérée. Ce dernier morceau résonne comme un beau coucher de soleil à la fin d'une longue journée d'été. A travers tous ces morceaux, Rokanbo nous offre ainsi un savant contraste entre notes synthétiques et chaleur du groove des tropiques.
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PIAS
Le 30 septembre 1990, Gérard de Haro enregistre dans son studio qui ne s'appelle pas encore La Buissonne, le trio régional de Stéphan Oliva avec Claude Tchamitchian et Jean-Pierre Jullian. C'est le premier disque de Stéphan, il le produit lui-même. C'est aussi le début d'une longue et indéfectible amitié entre ces quatre artistes. Gérard est l'ingénieur du son de treize des seize disques enregistrés sous son nom par Stéphan à ce jour. Stéphan est dans plusieurs des aventures du Lousatzak de Tchamitchian, il est aussi le pianiste des merveilleux projets sudistes de Jullian sortis sur Emouvance, le label du contrebassiste, tous enregistrés par De Haro... Automne 1991, l'enregistrement du trio sort sur OWL, le prestigieux label de Jean-Jacques Pussiau. Et tout le monde s'accorde pour saluer un nouveau musicien à l'univers poétique très personnel. Automne 2008, Jean-Pierre Jullian à un projet d'oratorio et travaille également à une création pour sept musiciens et deux danseurs sur la naissance du soleil et de la lune d'après les mythes Amérindiens. Claude Tchamitchian, lui explore ses propres racines dans des duos et trios avec Gaguik Mouradian et Bijan Chemirani et participe au développement de la musique des trio et Megaoctet d'Andy Emler. Stéphan Oliva tourne en solo son projet sur Bernard Herrmann, écrit pour le cinéma et continue de creuser avec François Raulin, les origines de la musique afro-américaine. Il a aussi envie de rejouer en trio avec une contrebasse et une batterie (la dernière fois c'etait en 2000 avec Bruno Chevillon et Paul Motian). C'est tout naturellement qu'il va proposer la reformation du trio. Il écrit un nouveau répertoire, puis s'informe sur la disponibilité du studio pour l'enregistrer. Mais sans aucune idée sur la façon de commercialiser la musique. Et c'est tout aussi naturellement que Gérard de Haro lui propose de produire le projet sur son label. Dix-huit ans après leur première rencontre...
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MODULOR
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
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14,99 €
MODULOR
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
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UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
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INOUIE
La chanteuse et compositrice Mayomi, originaire de Cuba, dévoile, entre ombre et lumière, ses propres univers artistiques, ouverts à tous les vents des musiques nées entre îles, archipels, continents tous liés au Grand Océan : l’Atlantique. Dans ses mélodies, ses rythmes, ses harmonies s’imbrique la somme des influences qui ont forgé sa personnalité artistique. D’abord ce formidable héritage afro-cubain : les innombrables musiques qui sont nées et se sont agrégées à Cuba, son île natale. Omniprésent dans ses compositions (l’attachement est viscéral), elle le propulse de belle manière dans le champ du présent en n’hésitant pas à le croiser, voire le chahuter, avec des grooves très urbains, le funk, le jazz dans ses variantes les plus modernes, Alors, rumba, boléro, soul, latin son, improvisations déjantées, syncopes, rythmes cadencés, couleurs jazz, s’amalgament non pas en une fusion opportuniste pour coller au goût du jour de la World music mais bien pour exprimer la fibre d’une artiste en plein épanouissement. Mayomi Moreno pose un acte fort. Ce sont ses propres mots que porte son chant. Ils disent l’exil, la souffrance de l’arrachement, les amours enfuies, la mélancolie, les racines. Mais aussi l’appétit de vivre d’une femme, Avec son projet personnel ici en France, (elle y vit depuis plus de 10 ans), Mayomi a pour ainsi dire trouvé sa propre Casa de Trova (nom donné à ce lieu de Santiago de Cuba qui servit de vivier culturel à bien des musiciens). Voyez-la sur scène, en phase avec elle-même, plus encore dans ses créations.Calme, solaire.Son joli brin de voix envoûtant sait se faire sombre pour instiller un soul mélancolique, profond, authentique, une fêlure qui percute. Il sait aussi pétiller d’éclats lumineux bourrés de joie et d’énergie qui invitent à la danse ou à la transe. Musiciens : Mayomi Moreno ( voix, compositions et arrangements ), Michael Geyre ( claviers ), Gaétan Diaz ( batterie) Thomas Labadens ( basse ), Lionel Galletti ( percussions )
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79,99 €
Turtle Beach
Le casque de gaming Stealth 300 de Turtle Beach pour PS4 Pro et PS4 offre un son amplifié et puissant pour vous plonger dans vos jeux, vos films et de votre musique. Fondez-vous dans l'ombre avec ces fonctionnalités conçues pour proposer un audio de gaming de qualité incomparable. Le son Surround sans fil, la technologie Superhuman Hearing, la connectivité Bluetooth et l'isolation acoustique active ne sont qu'une poignée des atouts qui vous permettront de vous hisser au sommet des classements. Port de lunettes en tout confort - Le système breveté spécial lunettes ProSpecs de Turtle Beach est doté de coussinets comportant deux épaisseurs de mousse. La partie au contact de vos lunettes est encore plus douce pour un confort optimal. écouteurs de 50 mm de qualité supérieure - Découvrez des aigus cristallins et des basses surpuissantes grâce à ces grands écouteurs enveloppants de 50 mm. Presets audio, dont l'amplification des basses - optimisez votre expérience de jeu avec 4 presets d'égalisation : amplification des basses, son emblématique, amplification des basses/aigus et amplification des voix. Le Stealth 300 de Turtle Beach est le tout dernier casque de gaming avec son stéréo amplifié pour PlayStation4. Le casque de gaming Stealth 300 offre un puissant audio de chat et de jeu grâce aux grands écouteurs de 50 mm et au célèbre microphone ultrasensible de Turtle Beach qui se coupe d'un geste. Pour une durabilité et un confort inégalé, le casque Stealth 300 est doté un arceau en métal solide enveloppé de tissu respirant, de coussinets en mousse à mémoire de forme, et bénéficie du système ProSpecs de Turtle Beach conçu spécifiquement pour le confort des porteurs de lunettes. Pour une durabilité et un confort inégalé, le casque Stealth 300 est doté un arceau en métal solide enveloppé de tissu respirant, de coussinets en mousse à mémoire de forme, et bénéficie du système ProSpecs de Turtle Beach conçu spécifiquement pour le confort des porteurs de lunettes. Le casque Stealth 300 est également équipé d'une fonction de réglage de retour micro permettant d'entendre et d'ajuster le volume de votre voix dans le casque afin d'éviter de crier, de presets audio, dont l'amplification des basses, et d'une batterie rechargeable de plus de 30 heures d'autonomie.
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8,99 €
WAGRAM DV
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
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17,99 €
WAGRAM DV
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
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PIAS
Depuis quelques années, Jean-Jacques Milteau semble avoir trouvé une nouvelle maturité, davantage au service d'une ambition musicale d'ensemble (mise en avant du groupe) que d'un instrument en particulier : « J'ai toujours aimé les voix. Dans le blues, l'harmonica est un véritable interlocuteur du chanteur. Plus que pour briller, l'instrument est là pour dialoguer, illustrer, conforter, créer un décor propice à l'expression du chant ». Soul Conversation est un projet musical qui revisite Blues, Soul, Folk et Rock. S'y retrouveront les amateurs de blues « roots » comme ceux qui aiment la Soul soyeuse et la musique des années 60 et 70. L'album comprend 9 originaux signés J.J. Milteau, Manu Galvin, Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que 4 reprises popularisées par les Rolling Stones, Stephen Stills, Curtis Mayfield et J.B. Lenoir. « Soul Conversation est une relecture des premières musiques que j'ai écoutées : Blues, Soul, Rock, Folk. Elles chantaient l'espoir de lendemains meilleurs. Pour la première fois, la jeunesse du monde entier utilisait un langage commun pour exprimer un désir d'ouverture et de tolérance. Force est de constater qu'on a du rater un embranchement depuis... » Pour ce projet, Jean-Jacques Milteau s'est entouré de deux chanteurs noirs américains : Michael Robinson et Ron Smyth, ainsi que de son complice habituel Manu Galvin (soutenu par Christophe Deschamps à la batterie et Gilles Michel à la basse). Michael Robinson a commencé à chanter à 5 ans auprès de son père pasteur. A 14 ans, il obtient une bourse pour étudier au prestigieux Conservatoire de Musique de Chicago. À 18 ans, il chante avec les Staple Singers, puis émigre à Los Angeles où il travaille régulièrement pour Quincy Jones Productions. Aux côtés de J.J. Milteau il renoue aujourd'hui avec la Soul et le Blues de son enfance. Ron Smyth est né dans le New Jersey. Il a appris la musique en accompagnant sa mère, évangéliste. À New York, il fréquente Pharao Sanders, Freddie Hubbard, et James Brown. Il accompagne Peter Tosh sur plusieurs tournées, émigre à la Nouvelle Orléans, puis à Paris où il collabore avec Bernard Allison et Lucky Peterson. Lui aussi est heureux de retrouver Jean- Jacques sur un projet qui couvre revisite les meilleures années de la musique américaine.
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MODULOR
Pure Bliss est une odyssée pop onirique et psychédélique de l'auteur-compositeur et multi-instrumentiste américain Shmu, coproduite par le gourou du psyché Vinyl Williams. Pure Bliss a longtemps été un album mis de côté, un projet prenant la poussière, pendant que Samuel Chown était occupé à sortir d'autres titres sous le nom de Shmu, Zorch et à travers une multitude d'autres projets, ainsi qu'à faire de nombreuses tournées en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Certaines chansons de l'album possèdent des démos remontant à 2004, lorsque Samuel n'avait que 17 ans. La majeure partie de l'oeuvre a cependant pris corps lors d'une période intense d'écriture et d'enregistrement entre 2014 et 2015, une sorte de journal musical qui relate les luttes de Chown contre l'anxiété et les troubles intenses du sommeil. L'ambiance du disque résulte en grande partie de la réflexion et de la réaction de Chown à cette période incertaine et étrange de sa vie. C'est une tentative d'exprimer ce bouleversement intérieur ainsi qu'un reflet de son expérience extérieure, à la recherche d'un sentiment de connexion avec lui-même, ainsi qu'une tentative d'atteindre le pur bonheur, au milieu d'une période sombre. Ce n'était jamais le moment pour Chown de sortir le disque ou de finir les démos jusqu'à ce qu'il les fasse écouter en 2018 au multi-instrumentiste et visionnaire Lionel Williams du groupe Vinyl Williams dont Chown allait par la suite devenir le batteur. Durant deux jours intenses, toute la batterie a été ré-enregistrée, suivie de quelques semaines de mixage, de mastering, de ré-amplification et dans quelques cas, Williams a ajouté des parties aux chansons. Ce dernier étant le seul a avoir participé à cette épopée shoegaze/dream pop de 60 minutes. Musicalement, l'album apparaît comme un mélange des musiques qui ont inspiré Chown lors de son enfance passée au Canada dans les années 90, à savoir ses 3 groupes préférés de l'époque : Smashing Pumpkins, My Bloody Valentine et Radiohead. Pure Bliss s'inscrit dans la continuité des disques classiques de shoegaze/dream pop, tels que Loveless. Cet album retrace le parcours de Chown depuis ses débuts avec le morceau Voices, réalisé alors qu'il était adolescent, jusqu'au plus récent Tempera Madonna; un parcours qui s'étend littéralement sur plus de 15 ans, laissant entrevoir une sorte de cycle de naissance, mort et de renaissance.
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19,99 €
MODULOR
Pure Bliss est une odyssée pop onirique et psychédélique de l'auteur-compositeur et multi-instrumentiste américain Shmu, coproduite par le gourou du psyché Vinyl Williams. Pure Bliss a longtemps été un album mis de côté, un projet prenant la poussière, pendant que Samuel Chown était occupé à sortir d'autres titres sous le nom de Shmu, Zorch et à travers une multitude d'autres projets, ainsi qu'à faire de nombreuses tournées en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde. Certaines chansons de l'album possèdent des démos remontant à 2004, lorsque Samuel n'avait que 17 ans. La majeure partie de l'oeuvre a cependant pris corps lors d'une période intense d'écriture et d'enregistrement entre 2014 et 2015, une sorte de journal musical qui relate les luttes de Chown contre l'anxiété et les troubles intenses du sommeil. L'ambiance du disque résulte en grande partie de la réflexion et de la réaction de Chown à cette période incertaine et étrange de sa vie. C'est une tentative d'exprimer ce bouleversement intérieur ainsi qu'un reflet de son expérience extérieure, à la recherche d'un sentiment de connexion avec lui-même, ainsi qu'une tentative d'atteindre le pur bonheur, au milieu d'une période sombre. Ce n'était jamais le moment pour Chown de sortir le disque ou de finir les démos jusqu'à ce qu'il les fasse écouter en 2018 au multi-instrumentiste et visionnaire Lionel Williams du groupe Vinyl Williams dont Chown allait par la suite devenir le batteur. Durant deux jours intenses, toute la batterie a été ré-enregistrée, suivie de quelques semaines de mixage, de mastering, de ré-amplification et dans quelques cas, Williams a ajouté des parties aux chansons. Ce dernier étant le seul a avoir participé à cette épopée shoegaze/dream pop de 60 minutes. Musicalement, l'album apparaît comme un mélange des musiques qui ont inspiré Chown lors de son enfance passée au Canada dans les années 90, à savoir ses 3 groupes préférés de l'époque : Smashing Pumpkins, My Bloody Valentine et Radiohead. Pure Bliss s'inscrit dans la continuité des disques classiques de shoegaze/dream pop, tels que Loveless. Cet album retrace le parcours de Chown depuis ses débuts avec le morceau Voices, réalisé alors qu'il était adolescent, jusqu'au plus récent Tempera Madonna; un parcours qui s'étend littéralement sur plus de 15 ans, laissant entrevoir une sorte de cycle de naissance, mort et de renaissance.
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WARNER MUSIC
Il est revenu. Toujours le même mais plus que jamais imprévisible. Vingt ans après Boulevard (1 million d'albums vendus), quinze ans après l'album multi-platiné et couronné Tourist (2,8 millions écoulés à travers la planète) et une tournée mondiale qui l'a conduit sur plusieurs continents, Ludovic Navarre, alias St Germain, a repris le chemin des studios. Figure incontestée et respectée de la musique électronique depuis deux décennies, pionnier de la french touch, inventeur d'une deep house érudite, sensuelle et originale, St germain s'est toujours distingué par son art consommé d'un mariage subtil entre machines et instruments, racines et modernité. Une musique de fusion, marquée par son amour du blues, du jazz et des musiques noires en général, scandée de boucles électro hypnotiques et de samples de voix harmonieusement entrelacés. On n'a pas oublié son célèbre Alabama Blues, ni Rose Rouge, tube repris dans le monde entier jusque dans les concerts des Rolling Stones. Un métissage à la musicalité exceptionnelle, de Détroit, USA, à Saint Germain, France, en passant par le Mississippi et, cette fois, par l'Afrique de l'Ouest. Après l'acid jazz, le nu jazz et la deep house, place à l'afro deep selon St Germain. C'est le voyage inédit que propose ce nouvel album, inauguré par le single Real blues, qui mêle sur une trame percussive chaleureuse et endiablée, la voix du légendaire bluesman texan Lightnin' Hopkins. Un album éponyme, décoré d'une pochette originale, un masque conçu tout spécialement par Gregos, le créateur d'Urban Art qui colle ses visages souriants ou grimaçants sur les murs de Paris et d'Europe. C'est donc dans les musiques et les rythmes africains que St Germain s'en est allé puiser la genèse de ce nouvel opus. Des musiques pour la plupart originaires du Mali, qui scandent les cérémonies de la confrérie des chasseurs mandingues, fiestas rituelles où chanteurs, danseurs et musiciens célèbrent les différentes étapes de la vie. A partir de ce matériau originel, St Germain le sorcier des sons a réussi un alliage aérien et cadencé entre des instruments traditionnels comme la kora, le balafon, le violon peul, le soku, ou le n'goni (petite guitare-luth à 4 ou 6 cordes), et les plus occidentaux claviers, guitares électriques ou saxophone. Le tout parsemé des séquences et des nappes électroniques dont il a le secret. A l'image des morceaux instrumentaux Hanky Panky, Mary L et Forget Me Not, qui mêlent groove jazzy et percussions ethniques, arabesques de guitares et de n'goni, transe et danse, calme et tempête. Un contraste, tempi fougueux et mélopées agiles, que l'on retrouve dans Sttin' Here, Voilà et Family Tree qui révèlent les voix impérieuses et virvoltantes des chanteuses maliennes Nahawa Doumbia et Fanta Bagayogo, et celle du musicien Adama Coulibaly, dans la grande tradition des griots d'Afrique de l'Ouest. On connaît la passion de St Germain pour les douze mesures. Outre le Lightnin' Hopkins ( Real Blues ), c'est à R.L. Burnside, bluesman du Mississippi disparu en 2005, qu'il rend également hommage dans le morceau How Dare You Pour confectionner cet album conçu, écrit, enregistré et mixé dans le secret de son laboratoire personnel, St Germain, l'alchimiste solitaire, s'est entouré de la crème des musiciens et des chanteurs de la diaspora africaine, du Mali au Sénégal. Ainsi les virtuoses du n'goni, kamele n'goni et de la guitare Adama Coulibaly (Salif Keita), Sadio Kone et Guimba Kouyate, les joueurs de kora Cheikh Lo Ouza Diallo et Mamadou Cherif Soumano (Tiken Jah Fakoly), ou le violoniste Zoumana Tereta, ancien chauffeur de camion devenu réputé champion de l'instrument. Un casting international complété par des musiciens comme le claviériste martiniquais Didier Davidas, le percussionniste brésilien Jorge Bezerra (Joe Zawinul Syndicate), le bassiste sénégalais Alioune Wade (Ismael Lô) et le saxophoniste guadeloupéen Edouard Labor, déjà présent sur les enregistrements précédents. Masterisé dans les mythiques studios londoniens d'Abbey Road par Alex Wharton (le Live at the BBC des Beatles, Chemical Brothers, Gilberto Gil, Scott Walker etc), le nouvel album éponyme de St Germain sera suivi d'une tournée mondiale, qui débutera en novembre 2015, avec la plupart des musiciens présents sur le disque. Ludovic Navarre est revenu. Là où on ne l'attendait pas. Bienvenue dans les nouveaux contes de St Germain
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PIAS
Nouvelle signature de poids chez Frontiers, Geoff Tate lève le voile sur la première partie d’une trilogie musicale épique et captivante. Operation : Mindcrime est le nom du troisième album du groupe Queensrÿche paru en 1988, opéra rock considéré comme l’un des meilleurs albums de rock-métal de l’histoire. Aujourd’hui, le chanteur du groupe aux 25 millions d’albums vendus, Geoff Tate, a signé chez Frontiers pour la parution d’une trilogie qui représente l’un de ses projets les plus ambitieux. « J’aime raconter de grandes épopées à travers ma musique; j’ai essayé ici de réduire l’ampleur de l’histoire, et suis arrivé à la conclusion qu’il me fallait représenter musicalement 37 idées pour pouvoir compléter le scénario ! J’ai vite compris qu’un seul album ne serait pas suffisant ! ». Premier volet de la trilogie, The Key est parcouru d’un souffle lyrique de grande ampleur qui embrasse des sujets modernes d’actualité, comme la politique internationale, l’économie mondiale et la crise sociale. Operation : Mindcrime n’est pas un groupe à proprement parler, mais une plateforme créative qui voit la participation de musiciens ouverts et chevronnés et qui perpétue en quelque sorte les thématiques déjà abordées dans l’album de Queensrÿche du même nom. Musicalement, l’album est assez aventureux déclare Geoff Tate. Bien sûr il y a des éléments rythmiques et des phrasés mélodiques qui pourront paraître familiers, mais tout au long de ma carrière j’ai eu le souhait de me renouveler et d’essayer d’atteindre de nouveaux buts, notamment au niveau des arrangements. Ce qui permet d’aborder la musique de façon spontanée et excitante. On s’est libéré de toutes contraintes pour enregistrer cet album, on a exploré de nouveaux territoires, en s’inspirant de la liberté des pionniers du prog rock. L’univers musical créé est riche d’idées et d’inspirations; on reconnait bien sûr les parties de guitares plutôt heavy et les boucles de batterie haletantes, mais la musique est sophistiquée, cinématique, avec des changements de rythme surprenants, des parties vocales entraînantes, des formes musicales dynamiques et captivantes. Il faut dire que Geoff Tate a su s’entourer d’une équipe de haut niveau, composée de visages familiers et de nouvelles recrues : les bassistes Dave Ellefson [Megadeth, Metal Allegiance] et John Moyer [Disturbed, Adrenaline Mob], les batteurs Simon Wright [AC/ DC], Scott Mercado [Candlebox] et Brian Tichy [Billy Idol, Ozzy Osbourne], les guitaristes Kelly Gray [Queensryche] et Scott Moughton [Geoff Tate], etc. Voici donc le premier chapitre d’une trilogie ambitieuse qui nous tient en haleine et qui s’annonce comme l’un des événements rock de la rentrée.
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HARMONIA MUNDI
Louisa Bey (voc), Olivier Louvel (g,dobro,mandoline) Alexandre Saada (p,Rhodes & Wurlitzer) Gilles Coquard (b), Xavier Desandre-Navarre (perc,dr) Invité : Hervé Meschinet (fl) Le parcours de cette artiste est éclectique. Cumulant les talents d'auteur, compositeur et chanteuse de jazz, Louisa Bey (nom de scène choisi en hommage à Abbey Lincoln) a étudié le piano classique, a pris le temps d'obtenir un DEA de droit communautaire, d'acquérir une expérience professionnelle dans la communication, puis a commencé en 2002 les cours de l'école Atla et notamment le jazz vocal se découvrant alors une passion pour cette musique qui lui permet d'exprimer et d'interpréter les émotions qui trouvent écho en elle. En octobre 2002, une rencontre est déterminante : celle de Frédéric Charbaut et de Donatienne Hantin, organisateurs du Festival Jazz à Saint- Germain-Des-Prés où Louisa donne son premier concert en 2003. Puis elle part à Tanger pour le festival Tanjazz où elle rencontre le pianiste Nico Morelli qui l'accompagne et l'encourage à lui présenter ses compositions. Il est trop tôt pour que ces deux-là travaillent ensemble, mais ce n'est qu'une question de temps...Louisa s'entoure alors du pianiste Alexandre Saada et de sa rythmique (Laurent Sériès à la batterie et Jean-Daniel Botta à la contrebasse). Après quelques concerts donnés à Paris, une nouvelle aventure Tanjazz s'annonce en mai 2004. Le quartet apprend à se connaître et l'expérience de la grande scène de la Mandoubia à Tanger restera pour tous, un grand moment. Suivent alors les clubs parisiens : le Sunside, les Sept Lézards, l'Archipel, le Café Universel, et les festivals Jazz à Saint- Germain-des-Prés et Jazz à Vienne. Le thème de Turning Me Jazz est tourné vers l'espoir et le jeu, sans perdre de vue les petites noirceurs de la vie. « Mon discours est de ne pas juger; d'exprimer par ma voix, mes textes et ma musique d'autres vies qui ne sont pas les miennes, et d'essayer d'en comprendre les émotions. Je recherche un discours universel via une multitude d'individualités. » Un jazz au caractère folk et pop autour d'une formation dont le socle est la guitare (Olivier Louvel). Le travail s'articule autour des compositions de Louisa Bey, inspirées par des artistes tels Herbie Mann, Gil Scott Heron, Joni Mitchell ou Nick Drake. L'ensemble puise sa source dans les « seventies » avec le choix d'un son plus ample et plus profond, grâce à la présence de la basse électrique, des percussions, du Rhodes, du Wurlitzer, et de la flûte. Nouvelles compositions, nouvelle formation pour ce disque dont la direction artistique a été assurée par Olivier Louvel.
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MODULOR
Yours est un panier garnis que nous offre Chris Garneau, plus sage et plus contemplatif, après un temps de réclusion dans la nature. Vous pouvez entendre dans l'immensité sonore de chaque piste la profondeur de la perspective que lui ont accordé la distance et le temps qui passe. Cinq ans après Winter Games, Chris Garneau descend de la montagne et constate que le monde a continué à tourner sans lui. Les histoires sur les douleurs d'une famille aux prises avec d'anciennes blessures, sur la recherche d'une connexion relationnelle, et sur la colère contre un monde qui plonge de plus en plus dans la souffrance sont toutes là mais sont cette fois reliées à des références mythologiques, hors du temps. La France, où Garneau a passé une partie de son enfance, lui donne des racines. Il a passé deux mois à Lyon, enregistrant Yours, son quatrième album, avec les coproducteurs Maxime Vavasseur du groupe Witxes, et Benoit Bel qui, formé par Valgeir Sigurdsson & Mio Thorrisson au Greenhouse Studios à Reykjavak, a enregistré Björk, Bonnie Prince' Billy, Kate Nash et plus. être en studio avec Vavasseur et Bel a été une expérience profonde pour Garneau, et les résultats de cette connexion profonde se font sentir dans la matière organique brute de l'album. Son album précédent utilisait des récits par procuration, mais Garneau reprend sa propre vie dans son travail sur Yours. Avec ce nouvel album, la voix de Garneau devient notre voix. Il y parvient non pas en racontant une histoire universelle, mais en se plongeant profondément dans les particularité de sa propre blessure. Il se sent en quelque sorte séparé de ce monde, comme le mythe de Geryon repris dans Autobiography of Red d'Anne Carson, texte qui a servi de fondement à la création de cet album. Chris Garneau plane au-dessus de cette planète rouge et chante pour les personnes sans voix. Les drames domestiques, la réalité mondaine de mettre un corps dans la terre, l'énormité de la dévastation écologique. Garneau couvre de nombreux territoires, des vues panoramiques d'un monde déchirant dans la chanson Yours aux coins sombres d'un bar d'une petite ville sans nom dans No Lord, soutenues respectivement par les voix d'une beauté obsédante d'Emily Jane White et de Keren Ann. Garneau a d'autres compagnons qui le ramènent sur terre. Shannon Funchess de Light Asylum prête sa voix à Torpedo, donnant à la chanson une intensité délicate. Greg Fox (Liturgy & Ben Frost) apporte la batterie à l'étendue cosmique de No Universe, une piste qui trouve la beauté dans le potentiel de l'anéantissement pour nous réveiller. Morgane Imbeaud du groupe pop-folk français Cocoon fournit les choeurs pour Gentry et Tower. Le résultat de toutes ces contributions est un son à la fois riche et délicat. Yours est un monde à part entière dont Garneau est prêt à se séparer. Il le laisse entre vos mains, avec toutes ses contradictions.
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MODULOR
Yours est un panier garnis que nous offre Chris Garneau, plus sage et plus contemplatif, après un temps de réclusion dans la nature. Vous pouvez entendre dans l'immensité sonore de chaque piste la profondeur de la perspective que lui ont accordé la distance et le temps qui passe. Cinq ans après Winter Games, Chris Garneau descend de la montagne et constate que le monde a continué à tourner sans lui. Les histoires sur les douleurs d'une famille aux prises avec d'anciennes blessures, sur la recherche d'une connexion relationnelle, et sur la colère contre un monde qui plonge de plus en plus dans la souffrance sont toutes là mais sont cette fois reliées à des références mythologiques, hors du temps. La France, où Garneau a passé une partie de son enfance, lui donne des racines. Il a passé deux mois à Lyon, enregistrant Yours, son quatrième album, avec les coproducteurs Maxime Vavasseur du groupe Witxes, et Benoit Bel qui, formé par Valgeir Sigurdsson & Mio Thorrisson au Greenhouse Studios à Reykjavak, a enregistré Björk, Bonnie Prince' Billy, Kate Nash et plus. être en studio avec Vavasseur et Bel a été une expérience profonde pour Garneau, et les résultats de cette connexion profonde se font sentir dans la matière organique brute de l'album. Son album précédent utilisait des récits par procuration, mais Garneau reprend sa propre vie dans son travail sur Yours. Avec ce nouvel album, la voix de Garneau devient notre voix. Il y parvient non pas en racontant une histoire universelle, mais en se plongeant profondément dans les particularité de sa propre blessure. Il se sent en quelque sorte séparé de ce monde, comme le mythe de Geryon repris dans Autobiography of Red d'Anne Carson, texte qui a servi de fondement à la création de cet album. Chris Garneau plane au-dessus de cette planète rouge et chante pour les personnes sans voix. Les drames domestiques, la réalité mondaine de mettre un corps dans la terre, l'énormité de la dévastation écologique. Garneau couvre de nombreux territoires, des vues panoramiques d'un monde déchirant dans la chanson Yours aux coins sombres d'un bar d'une petite ville sans nom dans No Lord, soutenues respectivement par les voix d'une beauté obsédante d'Emily Jane White et de Keren Ann. Garneau a d'autres compagnons qui le ramènent sur terre. Shannon Funchess de Light Asylum prête sa voix à Torpedo, donnant à la chanson une intensité délicate. Greg Fox (Liturgy & Ben Frost) apporte la batterie à l'étendue cosmique de No Universe, une piste qui trouve la beauté dans le potentiel de l'anéantissement pour nous réveiller. Morgane Imbeaud du groupe pop-folk français Cocoon fournit les choeurs pour Gentry et Tower. Le résultat de toutes ces contributions est un son à la fois riche et délicat. Yours est un monde à part entière dont Garneau est prêt à se séparer. Il le laisse entre vos mains, avec toutes ses contradictions.
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SONY MUSIC
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, nous sommes fiers de présenter aujourd’hui la collection Lost Recordings. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering (TM) mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta, et au coeur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire nous permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Une collection nait ! Le concert, donné le 28 octobre 1967 au palais des concerts De Doelen de Rotterdam aux Pays-Bas dans le cadre d’une tournée européenne qui, une petite semaine plus tard, fera escale à la Salle Pleyel à Paris (un disque intitulé «Live in Paris, 1967» paru dans les années 80 a immortalisé cette magnifique prestation), a ceci de particulier de rompre avec le schéma habituel en présentant le quartet de Monk (avec Larry Gales à la contrebasse et Ben Riley à la batterie) augmenté sur un certain nombre de plages d’invités prestigieux, tous habitués de l’univers du pianiste : les trompettistes Ray Copeland et Clark Terry, les saxophonistes Johnny Griffin et Phil Woods et le tromboniste Jimmy Cleveland. Si ce n’est pas la première fois que Monk se produisait entouré d’une formation élargie (deux enregistrements majeurs de sa discographie attestent de son goût pour les grands ensembles : «The Thelonious Monk Orchestra at Town Hall» enregistré en 1959 et le présentant à la tête d’un tentet arrangé par Hal Overton, et «Big Band and Quartet in Concert», rendant compte d’un concert donné au Philarmonic Hall de New York en 1963 dans une configuration orchestrale similaire), le scénario imaginé lors de cette tournée s’avère pour le moins original, puisque partant du quartet originel l’espace de deux morceaux («Ruby My Dear» et «Hackensack»), la formation s’élargit progressivement aux dimensions d’un quintet (avec Ray Copeland en soliste) puis d’un octet jusqu’à constituer finalement sur «Blue Monk» un mini big band de neuf musiciens mettant en vedette le bugle virtuose et inspiré de Clark Terry. Sans prétendre à une grande sophistication d’écriture (les arrangements minimalistes et «fonctionnels» servent le plus souvent d’écrin et de relance aux interventions solistes et ne proposent jamais de relectures particulières des compositions abordées), cette formule orchestrale séduit en ce qu’elle plonge le pianiste dans un environnement instrumental riche en couleurs et contrastes offrant de nouvelles perspectives et comme un surplus de lyrisme à son style toujours plus épuré et ascétique. Les improvisations de Johnny Griffin notamment, sur «Oska T» et «Epistrophy», sont de merveilleux moments qui rappellent à quel point sa sonorité à la fois chaude et acide ainsi que son phrasé incisif se sont toujours accordés comme par magie aux préceptes «monkiens», faits d’ellipses, de parcimonie expressive et de dissonances savantes.
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SONY MUSIC
Evanescence est de retour avec Synthesis, leur 4ème et plus ambitieux album pour une sortie prévue le 10 novembre 2017. L'album comprend des nouvelles versions de certains hits d'Evanescence, retravaillés avec un orchestre symphonique en plus du groupe et la virtuose Amy Lee au chant et au piano. Amy Lee, la chanteuse, compositrice et pianiste principale, le bassiste Tim McCord, le batteur Will Hunt, le premier guitariste et choriste Troy McLawhorn ainsi que le guitariste Jen Majura ont travaillé pour Synthesis, avec les producteurs Will Hunt et David Campbell (arrangeur d'orchestre et compositeur). Deux nouveaux titres sont nés de cette collaboration, Imperfection, le premier des deux sera disponible le 15 septembre. Le groupe a également invité sur cet album, Lindsey Stirling, la célèbre violoniste pour la 2eme nouvelle chanson de l'album, 'Hi-Lo'. Pour Amy Lee, 'Imperfection' est la chanson la plus importante de l'album. Pendant un certain temps, composer les paroles de cette chanson n'a pas été facile. En effet, je ressentais la pression d'être à la hauteur de l'œuvre et je ne savais pas vraiment quoi dire ou comment répondre aux attentes. Quand cela s'est finalement mis en place, c'était indéniable. Je n'avais pas le choix. C'est pour toutes les personnes que nous avons perdues, toutes les personnes que nous pourrions perdre par le suicide ou la dépression. Quand je chante, je chante comme si j'étais une personne exclue, une personne en salle d'attente. C'est appel à se battre pour se battre pour votre vie, pour rester. Ne succombez pas à la peur - Je me force à me le répéter tous les jours. Personne n'est parfait. Nous sommes tous imparfaits et c'est précisément ces imperfections qui font de nous les personnes que nous sommes. Il faut les assumer et en être fiers car il y a tellement de beauté dans ces différences. La vie vaut la peine qu'on se batte pour elle. Vous méritez qu'on se batte pour vous. L'album est un projet passionnant pour moi. Il y a tellement de niveaux de profondeur dans notre musique en dessous de la forte batterie et des guitares, explique Amy Lee d'Evanescence. J'ai toujours voulu mettre en avant certains arrangements de David Campbell et les éléments matrices de nos chansons. Cette idée a abouti à les retravailler complètement avec un orchestre complet, pas uniquement des cordes, une programmation technique élaborée et de l'expérimentation. C'est la première fois que nous partons en tournée avec un orchestre symphonique. Je suis très excitée à l'idée de donner un concert avec cette configuration portée sur les voix, sur l'émotion et sur l'histoire que nous avons construite au fil des années. Je suis aussi très excitée par le nouveau contenu de cet album. A part ces deux nouvelles chansons, il y a des très belles instrumentales entre les morceaux. Le tout résonne comme une vaste et dynamique bande-son . L'édition standard est disponible dès à présent en précommande en deux formats, CD et digital ainsi qu'une édition Deluxe limitée de l'album qui comprend le CD, un DVD documentaire sur la réalisation de l'album, des mix en format audio 5.1 et un livre comprenant les partitions d'orchestre composées par David Campbell. 2017 s'annonce comme une des années les plus importantes pour EVANESCENCE, qui a aussi confirmé que leur tournée continuera au Royaume-Uni et en Europe en mars 2018. Le groupe voyagera avec un orchestre symphonique et un set d'instruments électroniques, garantis pour délivrer une expérience live transcendante.
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SONY MUSIC DV
Evanescence est de retour avec Synthesis, leur 4ème et plus ambitieux album pour une sortie prévue le 10 novembre 2017. L'album comprend des nouvelles versions de certains hits d'Evanescence, retravaillés avec un orchestre symphonique en plus du groupe et la virtuose Amy Lee au chant et au piano. Amy Lee, la chanteuse, compositrice et pianiste principale, le bassiste Tim McCord, le batteur Will Hunt, le premier guitariste et choriste Troy McLawhorn ainsi que le guitariste Jen Majura ont travaillé pour Synthesis, avec les producteurs Will Hunt et David Campbell (arrangeur d'orchestre et compositeur). Deux nouveaux titres sont nés de cette collaboration, Imperfection, le premier des deux sera disponible le 15 septembre. Le groupe a également invité sur cet album, Lindsey Stirling, la célèbre violoniste pour la 2eme nouvelle chanson de l'album, 'Hi-Lo'. Pour Amy Lee, 'Imperfection' est la chanson la plus importante de l'album. Pendant un certain temps, composer les paroles de cette chanson n'a pas été facile. En effet, je ressentais la pression d'être à la hauteur de l'œuvre et je ne savais pas vraiment quoi dire ou comment répondre aux attentes. Quand cela s'est finalement mis en place, c'était indéniable. Je n'avais pas le choix. C'est pour toutes les personnes que nous avons perdues, toutes les personnes que nous pourrions perdre par le suicide ou la dépression. Quand je chante, je chante comme si j'étais une personne exclue, une personne en salle d'attente. C'est appel à se battre pour se battre pour votre vie, pour rester. Ne succombez pas à la peur - Je me force à me le répéter tous les jours. Personne n'est parfait. Nous sommes tous imparfaits et c'est précisément ces imperfections qui font de nous les personnes que nous sommes. Il faut les assumer et en être fiers car il y a tellement de beauté dans ces différences. La vie vaut la peine qu'on se batte pour elle. Vous méritez qu'on se batte pour vous. L'album est un projet passionnant pour moi. Il y a tellement de niveaux de profondeur dans notre musique en dessous de la forte batterie et des guitares, explique Amy Lee d'Evanescence. J'ai toujours voulu mettre en avant certains arrangements de David Campbell et les éléments matrices de nos chansons. Cette idée a abouti à les retravailler complètement avec un orchestre complet, pas uniquement des cordes, une programmation technique élaborée et de l'expérimentation. C'est la première fois que nous partons en tournée avec un orchestre symphonique. Je suis très excitée à l'idée de donner un concert avec cette configuration portée sur les voix, sur l'émotion et sur l'histoire que nous avons construite au fil des années. Je suis aussi très excitée par le nouveau contenu de cet album. A part ces deux nouvelles chansons, il y a des très belles instrumentales entre les morceaux. Le tout résonne comme une vaste et dynamique bande-son . L'édition standard est disponible dès à présent en précommande en deux formats, CD et digital ainsi qu'une édition Deluxe limitée de l'album qui comprend le CD, un DVD documentaire sur la réalisation de l'album, des mix en format audio 5.1 et un livre comprenant les partitions d'orchestre composées par David Campbell. 2017 s'annonce comme une des années les plus importantes pour EVANESCENCE, qui a aussi confirmé que leur tournée continuera au Royaume-Uni et en Europe en mars 2018. Le groupe voyagera avec un orchestre symphonique et un set d'instruments électroniques, garantis pour délivrer une expérience live transcendante.
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IMPORT STARTER
PASCAL MULOT ou l'histoire extraordinaire d'un gars simple dont le destin musical était tracé dès sa naissance... Fils d'un musicien de Jazz, il passe son plus jeune âge en compagnie des meilleurs musiciens noirs du genre, qui passaient et repassaient à la maison, dont Sam Woodyard, batteur de Count Basie (rien que ça !) qui lui apprend les bases de la batterie. Pascal intègre très vite le conservatoire où il étudiera la musique classique durant 6 ans. Un appentissage rigoureux qui lui apporte une précision unique dans le jeu et les bases techniques et culturelles les plus solides dont il puisse rêver. Avec du recul, il avoue regretter avoir quitté cette école d'excellence alors qu'il était adolescent, mais bon, le Rock'n'Roll ça marche quand même bien mieux sur les fi lles ! A l'époque, Pascal se destine à devenir médecin mais l'intérêt dans les études s'émousse avec le temps. Il suit son instinct et revient à ses premières amours au conservatoire et étudiera la basse 3 ans durant avec Francis Darizcuren, l'un des artistes les plus réputés de sa catégorie et qui a accompagné les plus grands artistes Jazz ou de variétés française ou internationale. C'est l'époque de la naissance de PASCAL MULOT, bass hero de son état, pratiquant entre 8 et 12 heures par jour dans sa chambre d'étudiant. C'est aussi l'époque du choc musical le plus important de sa vie avec la rencontre de Robert Suber, un chanteur noir américain, qui l'emmène dans son groupe Funk Suberbebop durant 4 années où ils joueront des centaines de dates, de petits clubs à des arènes de plus de 20.000 places ! La rencontre avec Patrick Rondat date de 1998. Pour son album de Heavy Metal instrumental 'Rape of the earth', ce dernier était en quête d'un bassiste et leurs vies se croisèrent à ce moment là. Passer du Jazz/Funk au Heavy Metal ? D'après Pascal, 'Le Funk, le Rock, tout ça.... C'est le même truc quoi ! Quelquechose de charnel !' La complicité entre ces deux grands musiciens, tout deux rapprochés par la passion dans leur instrument, ne se démentira jamais au cours des années. Le premier album solo de Pascal 'Purple yes' sort en 1991 et il est à l'époque le seul musicien français à proposer un album de basse instrumental. La reconnaissance de ses pairs et du mileu professionnel sera immédiate, le conduisant à tourner dans le monde entier de Los Angeles au Japon pour partager la scène avec des noms aussi prestigieux que STEVE VAI, BLUES SARACENO, SIMON PHILLIPS, TM STEVENS ou STEVE LUKATHER. Son deuxième album solo 'Bass and Love' sortira à cette époque. 'J'ai toujours pensé que l'émotion était le but vers lequel tous les musiciens doivent tendre' déclare t'il à propos de son troisième album 'Can U hear me Jay', dédié à la mémoire de son ami Jay Henning (guitariste de Superbebop) et qui présente une facette Blues innatendue dont Pascal est très fi er. Un album entièrement basé sur les ambiances et les sons et non plus sur la dextérité et la technique. 'Je crois en l'universalité de la musique' déclare t'il. BERNETT RECORDS est extrêmement fi er d'accueillir un musicien au parcours aussi exceptionnel que PASCAL MULOT. Son nouvel album 'Tsar Bomba' à sortir tout début 2009, fait à nouveau parler son incroyable talent de 4 cordistes autour d'un nouvel opus attendu depuis déjà quelques années. Cette nouvelle sortie ravivera à coup sur les ardeurs des passionnés de virtuosité de technique et de feeling.
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AUTRE DISTRIBUTION
Le nouvel album de FRUSTRATION : LE GROUPE CULTE DU POST PUNK FRANçAIS. AVEC EN INVITé : JASON WILLIAMSON (SLEAFORD MODS). Frustration on les a vus 5, 10, 100 fois - parfois sans vraiment le vouloir. On s'est à chaque fois dit qu'on en avait fait le tour, que tout leur petit cirque commençait à bien faire. Mais à chaque nouveau concert, à chaque nouveau disque, on replonge. Parce que le feu brûle toujours, parce que la passion est toujours intacte, parce qu'ils n'essayent pas de passer pour ce qu'ils ne sont pas. Parce que quelque part, au fin fond du Var ou du Jura, certains gamins ont toujours besoin d'envisager le monde autrement. On ne s'attendait toutefois pas à un disque comme So Cold Streams. à ce stade du championnat, Frustration aurait en effet pu se contenter de sortir un disque sensiblement identique au précédent, intense, abrasif, honnête mais sans risques, et continuer à remplir les salles sans que personne ne trouve à y redire en s'avançant doucement vers une sortie aussi digne qu'inévitable. Mais dès les premières mesures d' Insane, pilonnage électro-punk insensé qu'on croirait tout droit sorti d'un maxi d'EBM millésimé 1988, on réalise que le scénario ne va pas se dérouler comme prévu. Plutôt que de s'aménager une routine confortable, Frustration a enregistré son cinquième album comme si c'était le premier, comme un groupe formé depuis 6 mois qui n'aurait rien à perdre et une sérieuse envie d'en découdre. Si la cavalerie post-punk est toujours présente (batterie martiale, basse élastique, guitares en délit de fuite), So Cold Streams surprend par l'énergie, la virulence de certaines paroles et les nombreuses prises de risque, de Brume, cauchemar aux sonorités industrielles hurlé en français, au très pop Lil' White Sister qui lorgne étonnamment du côté des Smiths et d'Echo & The Bunnymen, en passant par le sinueux et mélancolique Slave Markets sur lequel le groupe a invité Jason Williamson, le chanteur de Sleaford Mods - formation qui a beaucoup joué dans la nouvelle jeunesse de Frustration. Sleaford Mods est un groupe qui, musicalement et humainement, nous a donné un véritable coup de fouet, explique Fabrice Gilbert (chant). ça nous a redonné un vrai sentiment de liberté, ça m'a permis de dire vraiment tout ce que j'avais envie de dire dans mes paroles, d'aborder des sujets extrêmement intimes comme des choses beaucoup plus générales, que ce soit au niveau politique ou social. So Cold Streams est, paradoxalement peut-être, à la fois notre disque le plus désabusé, le plus énergique et le plus libre. Constat que résume à la perfection la pochette du disque, signée comme toutes les autres par l'artiste peintre Baldo, et qui représente une machine goudronnant une route à travers un champ de blé. à l'origine, explique Fabrice, j'avais envisagé complètement autre chose, une illustration inspirée d'un plan d'Inglorious Basterds, le film de Quentin Tarantino. Mais le résultat n'a plu à personne. J'ai alors pensé à ce tableau avec la machine à goudron, que Baldo avait fait il y a plus de 15 ans et qui devait, à l'origine, être la pochette de notre premier album, Full Of Sorrow. Pour une telle renaissance, on ne pouvait rêver meilleur choix. Surtout que l'image contient à elle seule tout le disque : l'espace, la force, la lumière, la rage et le dégoût aussi. L'envie de tout détruire. De faire table rase. De proposer quelque chose de différent. Un peu plus que de la musique. Un esprit, une idée. Une façon d'envisager le monde. Frustration fait partie des rares groupes qui, aujourd'hui, avec très peu de presse et une estime toute relative de la part des médias, jouent dans toute la France à guichets fermés et réussissent à vendre plus de 10 000 exemplaires de leurs disques, performance à laquelle certains, pourtant soutenus par des budgets promotionnels chiffrés en dépit du rien à foutre, n'osent plus même penser... -- Lelo J. Batista, NOISE. -- Depuis 2002, ce quartet parisien a relevé la Manche et plongé les mains dans le cambouis des premiers Wire, The Fall, PIL et Joy Division. Références intouchables ? Dans les souterrains, on crie déjà le nom de Frustration. Ce qui Relax ici, c'est d'observer que cette musique n'a rien perdu de sa puissance réfractaire et cathartique. Ce qui réjouit, c'est qu'un groupe français sache lui redonner vie avec tant d'aplomb. -- Michaël Patin --- NewNoise
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