Les premiers “taille basse”L’invention par Michelin du TRX en 1975, permet une répartition plus équilibrée des tensions dans la carcasse toute entière du pneumatique d’où l’appellation TR pour tension répartie. Le TRX s’est notamment illustré en F1 avec Renault et Prost, tout comme en championnat du monde des rallyes sur les Audi Quattro, 205 Turbo 16, R5 Turbo.Pour la première fois, le pneu et sa jante se complètent harmonieusement en constituant un ensemble indissociable. La jante fait ainsi l’objet d’une transformation fondamentale dont la caractéristique essentielle est un rebord bas et plat. La nouvelle disposition du bord de jante et du talon permet une courbure harmonieuse de lacarcasse, sans point d’inflexion contrairement aux pneus classiques.Grâce à cette structure innovante, le pneu TRX offre une meilleure stabilité directionnelle et contribue largement à la sécurité active du véhicule grâce à un comportement exceptionnel dans les zones limites, en courbe en particulier.• Remarquable adhérence grâce à une répartition idéale des pressions dans la zone de contact.• Excellent confort dû à l’augmentation de la zone de flexion utile.• Esthétique nouvelle de l’ensemble pneu et sculptures originales très découpées.
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Seul pneu radial capable d’équiper les voitures les plus rapides du monde dans les années 70, le XWX assure à ces bolides une tenue de route exceptionnelle et une adhérence remarquable.Les particularités du XWX lui permettent de réaliser des performances remarquables, alliant vitesse, agrément de conduite et sécurité. La conception originale de sa structure interne tout comme la souplesse de sa carcasse permet d’obtenir un confort exceptionnel dans un contexte de roulage à très haute vitesse. Pneu de catégorie VR, le XWX peut être utilisé au-delà de 210 Km/h, avec une vitesse d’utilisation maximale de 270 Km/h.Des voitures de rêve A la fin des années 60, l’Allemagne et l’Italie sont en avance sur le programme de développement autoroutier européen. Ils sont également les principaux producteurs d’automobiles qui dépassent de plus en plus largement les 200 Km/h. Les larges rubans d’asphalte et l’absence de limitation de vitesse offrent, à quelques heureux privilégiés, la possibilité d’exploiter les performances de ces “super-autos” à desvitesses inavouables aujourd’hui.• Les Lamborgini Miura (1966), Ferrari 365 (1965), Maserati Ghilbi (1966), de Tomaso Pantera (1970), Porsche 911 Carrera RS (1972) sont les reines incontestées mais les grosses berlines Allemandes : Mercedes 300 SE 6,3l (1968) et BMW 3.0 Si (1971) font également forte impression.• Les Français sont également présents avec la Citroën SM (1970) ainsi que les Anglais avec les mythiques Jaguar Type E V12 (1970) et Aston Martin DBS (1967).• Les observateurs avisés remarqueront que ces performances exceptionnelles étaient réalisées sur des pneus de mêmes largeurs que ceux qui équipent les très sages berlines d’aujourd’hui.
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